• Au cours de ces deux dernières semaines, dans l’usine de production dans laquelle je travaille, nous avons eu deux fuites d’échangeur. Comment les déterminer et comment résoudre le problème ?

    1. Comment les déterminer ?

    Comme vous le savez désormais, les échangeurs ont très souvent deux fluides différents qui les traversent. L’un est chaud et se refroidira tandis que l’autre se réchauffera. Ici c’est dans le réseau de refroidissement que nous avons vu que quelque chose n’allait pas.

    Le réseau de refroidissement a très souvent une pression de 5 barg. Il est donc finalement à faible pression ce qui fait que la plus part du temps, le fluide fuit vers ce réseau. Ce réseau est donc particulièrement surveillé et notamment par des pHmètres. Ce sont eux qui nous ont guidés. Le pic de pH acide ou basique indiquera quels sont les endroits possibles de la fuite.

    Une fois le type de fluide fuyard déterminé, il suffit de suivre le réseau d’eau en sens inverse pour remonter à la fuite. Il faut donc prendre des échantillons en entrée et en sortie des différents équipements pour situer la fuite.

    Une fois que l’analyse en entrée est bonne mais qu’en sortie elle est fausse alors vous êtes en présence de l’équipement fuyard.

    2. Comment la réparer ?

    Il faut isoler l’équipement même si cela veut dire arrêter l’unité !!! En effet, le réseau d’eau à une faible pression mais un énorme débit, c’est pourquoi les tuyauteries sont toujours en acier simple. Une variation de pH abimera prématurément tout le réseau entrant ainsi tout l’arrêt de l’usine !!

    Une fois l’équipement ouvert, il est judicieux de passer l’endoscope pour visualiser l’intérieur pour en faire son inspection. De même qu’il faut prévoir les travaux déjà planifiés qui nécessitent un arrêt de l’unité.

    L’endoscope ne permet en générale pas de voir le tube fuyard sauf si la rupture est franche. La technique consiste plutôt à mettre de l’eau coté calandre et de repérer où sont les tubes qui fuient car l’eau passe. Il suffira alors d’enfoncer un bouchon du même métal que celui du tube pour boucher la fuite.

    Attention, l’eau ne devra pas monter trop haut au-dessus de la calandre sou peine d’inonder les autres équipements.

     

    Ce test à l’eau peut aussi se faire avec de l’air comprimé, de l’hélium si l’équipement est sensible à l’eau (rouille).

     

    Et vous comment faites/auriez-vous fait ?

     

    J.M.


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  • La fois passée, j’ai abordé le fait qu’il fallait être « pro-actif » dans sa carrière professionnelle afin de mieux en profiter (si jamais vous n’aimez pas ce que vous faites, il est toujours temps de changer, tout au moins par étape). Le début de l’année 2015 montre le résultat de cette « pro-action ».

    L’année a commencée sur les chapeaux de roues puisque j’ai débuté un nouvel emploi dès le premier lundi de l’année 2015 dans une nouvelle entreprise. Le changement ne s’est pas opéré à ce seul niveau puisque l’entreprise en question est aussi dans un autre pays. Mais comment se sont déroulées les étapes ?

    Il y a globalement 6 étapes résumées ci-dessous :

    1.     -  Stagnation

    2.     -  Introspection

    3.     -  Discussion

    4.     -  Recherche

    5.      - Entretien

    6.      - Embauche

    Chaque étapes est détaillées plus bas.

    1.     1. Stagnation

    Quand on sent que l’on stagne, que l’on s’ennuie ou qu’il n’y a plus trop de motivation au travail, alors c’est le moment de se remettre en question. On peut profiter de ce moment pour se former soi-même par la lecture de documents (technique ou non) afin d’avoir une vision plus transverse sur le métier. Il est aussi possible de suivre des MOOC en cours du soir dans d’autre domaine afin d’augmenter ses compétences. Il est aussi possible de créer une entreprise et alors de valoriser ses compétences. Il y a plusieurs moyens de ne plus stagner mais si jamais

    2.     2. Introspection

    Maintenant que l’on sait que l’on veut changer, il faut faire une introspection, c’est-à-dire se poser des questions. Qu’est-ce que je veux faire ? Quelles sont les compétences que j’ai et celles qui me font défaut ? Est-ce que je souhaite changer de région ? Est-ce que je recherche plus de responsabilités ou moins ? Est-ce que je suis prêt à me réadapté à une nouvelle profession ? Est-ce que je veux privilégier ma vie personnelle ou familiale ?

    Il faut se poser un maximum de question et y répondre le plus honnêtement possible car ces les réponses à ces questions qui jugeront de votre motivation  changer, vous donneront ce que vous recherchez mais aussi le plan d’action afin d’y parvenir si vous voulez changer !!

    3.     3. Discussion

    Maintenant, il faut savoir que change de travail n’implique pas que vous ! Votre conjoint et vos enfants auront aussi une part à jouer. Vous rentrerez peut-être plus et au début vous serez moins disponible ou aurez d’autres contraintes. Il faut donc veiller à ce que tout le monde soit prêt de changer un peu de rythme de vie avant de lancer une recherche d’emploi.

    La discussion peut aussi se faire avec votre famille ou vos amis afin de savoir ce qu’ils en pensent et quels sont les compétences/défauts que vous avez. Vous pourrez ainsi recouper avec votre introspection.

    4.     4. Recherche

    Maintenant que vous êtes décidé, que tout le monde est prêt au changement, il ne vous reste plus qu’à rechercher.

    Vous savez aussi ce que vous recherchez aussi vous ne gaspillerez pas trop d’énergie à envoyer des candidatures au hasard. Il faut faire un CV et une lettre de motivation de manière très rigoureuse. Le temps passé dessus est particulièrement important car c’est ce qui permet de décrocher un entretien !!

    Une fois un CV envoyé, il ne suffit pas d’attendre une réponse. N’hésitez pas à relancer la procédure et vous montrerez que le poste vous intéresse.

    5.     5. Entretien

    L’entretien permet de voir l’adéquation du candidat par rapport au poste proposé. Il y a toujours un écart mais le but de l’entretien est de le jauger et ainsi de minimiser les risques des deux côtés. C’est donc un échange !!! Il faut se renseigner au maximum sur le poste, l’entreprise, l’environnement du secteur et ne pas hésiter à poser des questions pour mieux cerner l’entièreté du poste.

    Un entretien débouche parfois sur un refus, aussi il peut être intéressant de savoir pourquoi vous avez essuyé un refus pour finalement ensuite apprendre de ses erreurs.

    6.     6. Embauche

    Arrivé ici, vous avez tout réussi. Reste à maintenant à faire vos preuves et là, vous savez déjà comment faire.

     

    J’espère que cette méthode vous aidera si jamais vous sentez que votre travail n’est plus aussi intéressant qu’avant !

     

    J.M.


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  • Quelle est la carrière typique d'un ingénieur en sortie d'école ? Personne ne sera en mesure de vous la décrire car finalement la carrière d'une personne se crée au fur et à mesure du parcours de la personne en question. Néanmoins il y a tout de même une constante sur le fait que le premier emploi conditionne souvent l'orientation des premières années.
     
    Si le premier emploi est dans l'ingénierie en tant qu'ingénieur process, bien souvent, une dizaine d'année plus tard, la personne en question travaille toujours dans l'ingénierie. Bien sur, il y a eut une évolution mais il sera souvent dans le domaine même si le secteur ne sera pas forcement le même.
     
    Ensuite il faut aussi savoir trouver un domaine dans lequel vous aimez ce que vous faites. Changer tous les ans de secteurs d'activité n'est pas forcement le mieux. En effet, vous devrez vous remettre des chiffres en tête et vous devrez vous créer de nouvelles méthodes de travail ! Travailler sur des hydrocarbures ou dans une station d'épuration n'est pas le même job.
     
    Enfin il y a parfois une désillusion du secteur actif une fois les études terminées. Je connais un ingénieur process qui n'a pas aimé ce qu'il faisait. Il a donc préféré changé d'orientation professionnelle pour devenir professeur de lycée. Pourquoi ? Comme je le disais le premier job est très important. Son premier emploi était selon lui rébarbatif et surtout pas très intéressant. Aussi "pourquoi avoir fait des années d'étude pour ça?" alors que quand il donne des cours particuliers le soir il aime transmettre son savoir aux élèves ? Il a donc préféré changé de voie pour finalement vivre une vie qui lui plaisiat le plus. Que se serait-il passé si jamais il avait eut un poste non pas dans un bureau mais plutôt sur un site de production ou dans un centre de production industriel en tant que manufacturier ?
     
    Les années d'études réalisées en école d'ingénieur n'ont pas été inutiles, bien au contraire, car elles lui ont permis d'avoir un bagage nécessaire pour passer et réussir le concours CAPES de physique.
     
    Au cours de votre carrière, rien n'est figé, c'est à vous de créer votre carrière en vous créant des opportunités mais aussi de trouver un domaine qui vous intéresse.
     
    Personnellement je ne travaille pas. J'applique la citation de Confusius.
     
    "Trouvez un travail que vous aimez et vous ne travaillerez pas un seul jour de votre vie".
     
    Dans le milieu dans lequel je suis les gens sont passionné et cela se transmet. Le Directeur Général d'une entreprise est à la retraite mais il aime ce qu'il fait donc il continue. Un autre, agé de 95 ans expert dans un domaine, distille ses conseils à qui veut bien lui demander. Et vous, aimez-vous ce que vous faites ?
     
    Dans chaque job, il y a toujours une petite partie qui est moins intéressante mais quelle en est la proportion dans votre emploi ?
     
    J.M.

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  • PID

    En tant qu’ingénieur process vous aurez forcement besoin un jour ou l’autre de créer ou consulter un PID. Mais qu'est ce que c'est ? Alors non, PID n'est pas l’acronyme de Proportional, Integrative et Derivative, pour ce qui concerne les boucle de contrôle. PID est l’acronyme de Piping and Instrumentation Diagram.

    Le PID est un PFD très complet car il reprend tous les équipements, avec toute l’instrumentation associée mais aussi les numéros de lignes leur diamètre et aussi les lignes nécessaires au démarrage ou aux arrêts… Le PID est l’un des documents les plus complets que vous pourrez trouver dans l’ingénierie pour avoir une vision globale d’une unité. Il est tout de même préférable d’utiliser dans un premier temps un PFD afin de bien comprendre le fonctionnement d’une unité pour ensuite trouver plus de détails dans le PID. La lecture d’un PID est complexe et c’est pourquoi il faut savoir le lire !

    1.     1.  Le cartouche

    Dans un premier temps, il faut repérer le cartouche, un rectangle en bas à droite. Il permet de connaître la partie de l’unité qu’il représente, qui l’a fait, à quelle date mais aussi combien l’unité en question comporte de PID.

    2.     2.  La légende

    Dans un second temps, très souvent, le premier PID sert à présenter les différentes figures et symboles qui seront utilisés. Il est important de l’avoir à coté car les représentations d’une check valve n’est pas la même si vous travaillez dans le domaine du pétrole ou dans celui de la chimie.

    Voici un exemple de légende concernant les vannes (source edraw).

    valve

    Cette légende montre bien qu’il y a une multitude de représentation de vanne aussi il est important d’avoir cette légende aussi bien pour faire que lire un PID.

    Ici, c’est un exemple de vanne, mais il y a la même chose sur les indicateurs d'instrument, les équipements, les différents signaux… A vous d’utiliser ceux qui correspondent aux us et coutumes de votre milieu !

    3.      3. Lecture d’un PID

    Prenons l’exemple de la localisation d’une vanne de contrôle de l’équipement 1 sur l’unité B.

    Dans un premier temps il faut à l’aide du cartouche repérer si l’on est dans la bonne unité. Ensuite il faudra trouver l’équipement 1 puis touver si la vanne de contrôle mesure une entrée ou une sortie. Le plus simple est de partir d'un gros équipement puis ensuite d'affiner la recherche.

    4.      4. Faire un PID

    Il faut tout de suite penser qu’un PID devient vite complet et donc il faut mettre entre 1 et 3 équipements dessus au maximum sinon il peut vite devenir illisible. En sachant ça, vous serez en mesure de déterminer combien il vous faudra en faire et ensuite ajuster votre numérotation de PID.

    Placez les équipements sur le PID en faisant en sorte qu’ils soient bien placés (pas trop près des bords et dans le sens de la lecture). Regarder la Datasheet de l’équipement en question pour qu’il y ait une bonne cohérence (nombre et nom des nozzles, proportions de l’équipement…).

    Reliez-les ensuite avec les lignes process de fonctionnement normales puis mettez les boucles de contrôles nécessaires (vanne et instruments).

    Ensuite il convient de placer l’instrumentation locale et celle qui ira en salle de contrôle.

    Une fois ces opérations réalisées, il faut mettre tous les équipements nécessaires à la maintenance (vanne de bloc autour des vannes de contrôle, drains, évents…), au démarrage (ligne de remplissage, bac de remplissage…) et d’arrêt mais aussi de sécurité (Pressure Safety Valve…).

    Ces étapes réalisées, vous pourrez ensuite mettre la numérotation des lignes, leurs diamètres et la numérotation des instruments.

     

    Bien sur chaque PID est unique et correspond à une philosophie bien particulière seulement tout ingénieur process doit-être en mesure de le lire car il est le document le plus complet de l’unité !!!

     

    J.M.


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  • Cet article va traiter des différents matériaux courament usité. Après la lecture de cet article, vous serez en mesure de dire la différence en l’acier noir et le l’acier Inox, et connaitrez les différences mécaniques suivant qu’il y ait plus de chrome ou de carbone.

    1.     1.  Les différents alliages

    Dans l’ingénierie, beaucoup des matériaux utilisés sont l’acier noir (acier carbone) et le stainless steel (inox). Néanmoins avant de parler des nuances d'aiers, il est important de connaître la composition d’autre alliage. Le tableau ci-dessous remémore la composition de matériaux ancien et nouveau.

     

    Composition

    Fer

    Fe (100%)

    Fonte

    Fe + Carbone (entre 2et 6.5%)

    Acier Noir

    Fe + Carbone (entre 0.15 et 1.7%)

    Inox

    Fe + Carbone (0.07 à 1.7%) + Chrome (de 12% à 26%) + Autre

     

     

    Ce tableau permet de se rendre compte qu'au cours du temps, la teneur en carbone à diminuée. En effet, le conduite en fonte avaient tendance à être particulièrement « dur » et donc cassante. La baisse du taux de carbone dans les alliages a permis de rendre l’acier plus plastique et plus malléable.

     

    Ces bases étant posées, il faut savoir qu’il existe plusieurs types d’acier noir et d’acier Inox. Nous nous pencherons essentiellement pour les aciers Inox car plus complexe.

    2.     2.  L’inox

    Plusieurs autres éléments peuvent être associés à l’inox. En voici les principaux avec leurs avantages et inconvénients.

    L’aluminium : excellent désoxydant. Associé à l’oxygène, réduit la croissance du grain en phase austénitique. Peut rendre l’acier inapte à la galvanisation à chaud.

    Le chrome : c’est l’élément d’addition qui confère à l’acier la propriété de résistance mécanique à chaud et à l’oxydation (aciers réfractaires). Il joue aussi un rôle déterminant dans la résistance à la corrosion lorsqu’il est présent à une teneur de plus de 12 à 13 % (selon la teneur en carbone). Additionné de 0,5 % à 9 % il augmente la trempabilité et la conservation des propriétés mécaniques aux températures supérieures à l’ambiante (famille des aciers alliés au chrome). Il a un rôle alphagène.

    Le cobalt : utilisé dans de nombreux alliages magnétiques. Provoque une résistance à l’adoucissement lors du revenu.

    Le manganèse : forme des sulfures qui améliorent l’usinabilité. Augmente modérément la trempabilité.

    Le molybdène : augmente la température de surchauffe, la résistance à haute température et la résistance au fluage. Augmente la trempabilité.

    Le nickel : rend austénitiques (rôle gammagène) les aciers à forte teneur en chrome. Sert à produire des aciers de trempabilité modérée ou élevée (selon les autres éléments présents), à basse température d’austénitisation et à ténacité élevée après traitement de revenu. C’est l’élément d’alliage par excellence pour l’élaboration des aciers ductiles à basses températures (acier à 9 % Ni pour la construction des réservoirs cryogéniques, acier à 36 % Ni dit INVAR pour la construction des cuves de méthaniers et des instruments de mesure de précision).

    Le niobium : même avantage que le titane mais beaucoup moins volatil. Dans le domaine du soudage il le remplace donc dans les métaux d’apport.

    Le phosphore : augmente fortement la trempabilité. Augmente la résistance à la corrosion. Peut contribuer à la fragilité de revenu.

    Le silicium : favorise l’orientation cristalline requise pour la fabrication d’un acier magnétique, augmente la résistivité électrique. Améliore la résistance à l’oxydation de certains aciers réfractaires. Utilisé comme élément désoxydant.

    Le titane : pouvoir carburigène élevé (comme le niobium) et réduit donc la dureté de la martensite. Capture le carbone en solution à haute température et, de ce fait, réduit le risque de corrosion intergranulaire des aciers inoxydables (TiC se forme avant Cr23C6 et évite donc l’appauvrissement en chrome au joint de grain).

    Le tungstène : améliore la dureté à haute température des aciers trempés revenus. Fonctions sensiblement identiques à celles du molybdène.

    Le vanadium : augmente la trempabilité. Élève la température de surchauffe. Provoque une résistance à l’adoucissement par revenu (effet de durcissement secondaire marqué).

     

    Ainsi avec ces nouveaux éléments, il est possible de classer les aciers en quatre grandes familles :

    -          Acier Austénique : Fer, Chrome, Nickel, carbon (<0.1%)

    -          Acier Ferritique : Fer, Chrome, carbon (<0.1%) magnétique

    -          Acier Martensique : Fer, Chrome, carbon (>0.1%) magnétique

    -          Acier Duplex : Fer, Chrome, nickel, strucutre mixte Austénique ferritique, magnétique

     

    3.     3.  Des sous catégories

    Compliquons un peu les choses et prenons l’exemple de l’acier Austénique. Suivant l’environnement dans lequel le tuyau sera installé, il sera soumis à différentes contraintes qui peuvent-être l’oxydation, la corrosion, des contraintes mécaniques…

    Ainsi en fonction du milieu, il sera possible de choisir un type d’acier austénique plutôt qu’un autre pour répondre à ces exigences. Regardons le schéma ci-dessous.

     

    Austénique

    Figure 1 : Nuances aciers austéniques

     

    Imaginons que nous sommes dans une unité où la corrosion est très importante à haute température. Il faudra alors mieux prendre un acier austénique avec un ajout de Chrome-nickel plus important soit un acier 309 , 310/314 ou 310.

    Ce schéma montre que dans une même catégorie d’acier, il est possible de modifier les proportions de chacun des composants pour rechercher une caractéristique précise.

     

    Il existe des normes précises pour chaque type d’aciers. Les normes ASTM et AISI sont les plus répandues.

     

    J.M.


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